COMPENSATEUR DE DILATATION
Notre spécialité : la dilatation des tuyauteries
Les compensateurs de dilatation sont des éléments qui visuellement semblent simples mais qui regorgent de spécificités techniques. Il y a d'ailleurs beaucoup de chance que vous lisiez ce site web pour solutionner un problème récurrent de casse sur vos compensateurs de dilatation.
Il y a bien entendu les éléments clés de pression, température, mouvements et agressivité chimique à prendre en compte. Mais également leurs combinaisons. Par exemple, lorsqu'une fiche technique d'un compensateur caoutchouc indique une température maximale de 90°C et une pression maximale de 16 bar, il s'agit de maxima individuels. Les 16 bar peuvent être atteint à 20°C. Plus la température augmente, plus la pression de service disponible diminuera proportionnellement.
Les mouvements de dilatation d'un compensateur inox sont eux définis par une note de calcul EJMA. Ils sont votre garantie d'un nombre déterminé de cycles (10.000 cycles, 1.000 cycles, ou selon ce qui sera convenu). Le cycle d'un compensateur étant défini par une montée en température de la tuyauterie, une dilatation en conséquence, une production continue à température et un retour à sa position initiale lorsque la production est arrêtée et que l'ensemble revient à 20°C.
Un autre principe essentiel à retenir impérativement : un compensateur de dilatation doit TOUJOURS être installé entre deux points fixes. Et par points fixes, on parle bien d'encrage résistant à la force exercée par la surface efficace multipliée par la pression de service. Si ce n'est pas le cas, l'effet de fond qui s'exerce en tout point sur les ondes, va rendre le compensateur comme un tube, avec un retour en position initiale impossible. S'il n'est pas possible pour quelque raison que ce soit d'installer des points fixes, il est impératif de prévoir des tirants limiteurs ou éventuellement des charnières, en fonction des mouvements à reprendre.
Il existe encore de nombreux astuces et calculs à prendre en considération pour que l'installation, le mouvement, la résistance d'un compensateur de dilatation soit optimal.
De manière générale, vous pouvez vous référer aux moyennes de maintenance suivantes :
N'hésitez donc pas à nous consulter afin de vous trouver une solution pérenne ou pour tout simplement établir la mise en place de compensateurs de dilatation à partir de votre isométrie.
Il y a bien entendu les éléments clés de pression, température, mouvements et agressivité chimique à prendre en compte. Mais également leurs combinaisons. Par exemple, lorsqu'une fiche technique d'un compensateur caoutchouc indique une température maximale de 90°C et une pression maximale de 16 bar, il s'agit de maxima individuels. Les 16 bar peuvent être atteint à 20°C. Plus la température augmente, plus la pression de service disponible diminuera proportionnellement.
Les mouvements de dilatation d'un compensateur inox sont eux définis par une note de calcul EJMA. Ils sont votre garantie d'un nombre déterminé de cycles (10.000 cycles, 1.000 cycles, ou selon ce qui sera convenu). Le cycle d'un compensateur étant défini par une montée en température de la tuyauterie, une dilatation en conséquence, une production continue à température et un retour à sa position initiale lorsque la production est arrêtée et que l'ensemble revient à 20°C.
Un autre principe essentiel à retenir impérativement : un compensateur de dilatation doit TOUJOURS être installé entre deux points fixes. Et par points fixes, on parle bien d'encrage résistant à la force exercée par la surface efficace multipliée par la pression de service. Si ce n'est pas le cas, l'effet de fond qui s'exerce en tout point sur les ondes, va rendre le compensateur comme un tube, avec un retour en position initiale impossible. S'il n'est pas possible pour quelque raison que ce soit d'installer des points fixes, il est impératif de prévoir des tirants limiteurs ou éventuellement des charnières, en fonction des mouvements à reprendre.
Il existe encore de nombreux astuces et calculs à prendre en considération pour que l'installation, le mouvement, la résistance d'un compensateur de dilatation soit optimal.
De manière générale, vous pouvez vous référer aux moyennes de maintenance suivantes :
- En deçà d'un an, le compensateur de dilatation n'est pas du tout approprié
- Entre 1 et 2 ans, si l'application n'est pas extrêmement agressive, c'est une moyenne basse et qui peut être améliorée
- 5 ans est une bonne moyenne pour une production classique
- Dans le cas de fluides tels que l'eau à température ambiante, et protégés des UV, les compensateurs de dilatation peuvent tenir pendant 20 ans
N'hésitez donc pas à nous consulter afin de vous trouver une solution pérenne ou pour tout simplement établir la mise en place de compensateurs de dilatation à partir de votre isométrie.
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